À PROPOS DE MOI

Bonjour! Je suis Cynthia…

Rédactrice web, professionnelle en développement de carrière et auteure.

Diplômée en intervention en délinquance, en gestion de réseaux sociaux et finissante au baccalauréat en développement de carrière, je propose un accompagnement vers une vie professionnelle épanouie, équilibrée, enrichissante et qui fait du sens pour vous.

Peu importe vos objectifs professionnels, je vous accompagne en douceur vers l’atteinte de ceux-ci.

Je suis dôtée d’un côté multipotentiel qui fait de moi une professionnelle qui possède de nombreuses compétences et connaissances dans plusieurs domaines.

J’ai réussi, au fil du temps, à savoir comment exploiter mon potentiel.

Maintenant, je souhaite aider les autres à le faire…

Voir mon profil sur LinkedIn

Mon approche et mes valeurs en intervention

Je travaille principalement en intégrant diverses approches en counseling de carrière : traits-facteurs, développementales, constructivistes, sociocognitives et contextuelles/socioculturelles. Mes accompagnements prennent en compte tous les facteurs qui vous entourent mais dont vous êtes le noyau central. Tout au long du processus, vous êtes invité·e à vous impliquer que ce soit par la réalisation d’exercices concrets ou par certaines réflexions.

Possédant une vision de l’individu dans son ensemble, je travaille en fonction de ses désirs, de ses forces et de ses différentes sphères de vie.

Mes principales valeurs d’intervention sont : acceptation, authenticité, bienveillance, respect mutuel et respect de soi, ouverture d’esprit, écoute.

Expériences

Intervenante en maison de jeunes (12-17 ans)
Agente de soutien à la recherche pour Emploi-Québec
Auxiliaire de recherche en développement de carrière
Pigiste en marketing numérique, rédaction et réseaux sociaux depuis 4 ans
Membre de l’Association québécoise des professionnels du développement de carrière (AQPDDC)

Formations

Baccalauréat en développement de carrière – en cours (troisième année)
AEC en Stratégies et animation de réseaux sociaux
DEC en Intervention en délinquance

MON HISTOIRE

Depuis ma tendre enfance, je rêvais de devenir enseignante. J’allais tout faire pour suivre le cheminement menant à l’aboutissement de ce rêve. Mes enseignants voyaient aussi un potentiel d’auteure : ça tombait bien, j’adorais écrire! C’est ce qui m’a guidé vers le DEC en Arts et lettres après mon secondaire. Malheureusement, ce passage secondaire-Cégep n’a pas été aussi prospère que je l’aurais souhaité. Mes premiers signes d’anxiété se sont pointés le bout du nez et je n’ai pas réussi à finir la première session, malgré ma volonté. J’avais donc pris la décision de prendre une année sabbatique le temps de réfléchir à mon plan et mettre un peu d’argent de côté.

Quelques mois plus tard, après avoir bien magasiné les programmes d’études collégiales, j’ai finalement arrêté mon choix sur le DEC en Techniques d’intervention en délinquance. Les trois années qui ont suivis ont été passionnantes : j’apprenais un métier où j’allais pouvoir bien me préparer à intervenir avec les élèves plus « difficiles ». J’obtiens fièrement mon DEC en 2008, quelques mois avant de débuter mon BAC en Éducation préscolaire et enseignement primaire. Enfin, j’y étais! Les premiers mois, bien que difficiles et exigeants, ont été plus faciles que mon passage secondaire-cégep.

Puis, c’est lors du stage de première année que ça s’est gâté : j’aimais enseigner, mais la discipline à faire a éteint ce plaisir. J’ai frappé un mur. Il me semble que ce n’était pas comme ça avec mes toutous, quand je leur enseignais. Mes derniers jours de stage ont été pénibles et l’enseignante universitaire qui supervisait les stages m’avait octroyé une note au dossier : réussite sous condition. Si j’obtenais une autre note au dossier lors d’un prochain stage, j’étais out du programme. Je me suis mise out moi-même. Mon rêve venait de s’écrouler. À partir de ce moment, je n’ai plus jamais su ce que j’allais faire de ma vie. Je me suis donc trouvée un travail dans une librairie et j’ai vécu l’arrivée de la cigogne un peu prématurément.

Après quelques années à la maison avec mon bébé en alternant des débuts de programmes d’études pas terminés (secrétariat, soins infirmiers, etc.), j’ai décidé de retourner débuter un BACC en développement de carrière en 2013. Pendant 2 ans, j’étais aux anges. J’avais enfin trouver une vocation. Comble du malheur, en 2015-2016, je vis des problèmes financiers et une séparation. Mon monde s’écroule, je n’ai plus de motivation à continuer l’école, d’autant plus que j’étais endettée par-dessus la tête.

Les années qui ont suivi, j’ai fait ce que la société attendait de moi : j’ai travaillé dans des jobs qui me rendaient plus ou moins heureuse et je me suis occupée de ma fille.

En 2019, je suis tombée en burn out. Un burn out qui s’étirait depuis probablement un bon bout et qui était sans doute la continuité d’un post partum pas réglé. J’ai donc consulté une conseillère d’orientation (tiens, tiens!) et j’ai fait le choix d’aller faire une AEC en Stratégies et animation de réseaux sociaux que j’ai complété. Au lendemain de mon cours, j’ai lancé mon entreprise en marketing numérique, réseaux sociaux et rédaction web. Depuis novembre 2020, je gère des réseaux sociaux pour diverses entreprises et je rédige des articles et des contenus pour le web. Puis, c’est en 2024 que je prends la décision de retourner compléter le dernier tiers de mon Baccalauréat en développement de carrière et ce, 10 ans plus tard, tout en continuant de rédiger des contenus pour différentes organisations.

En même temps, je complète des formations continues me permettant de parfaire mes compétences en relation d’aide. Je prévois également entrer à la maîtrise en counseling de carrière après mon baccalauréat, afin d’obtenir mon titre de conseillère d’orientation.

Avec l’expérience, la maturité, la confiance acquises dans les dernières années, sans oublier toutes les expériences, je suis bien outillée pour aider les individus en quête d’une carrière, d’un emploi, d’une vie à la hauteur de qui ils sont et de ce qu’ils désirent.

Qui a dit qu’on ne pouvait exercer plusieurs métiers en même temps?